Féminisme et jeux de soumission

Varier les plaisirs

Être féministe et fantasmer sur les jeux de soumission ? On y voit pas d’objection ! Pas plus que de contradiction. On peut tout à fait militer pour des rapports égalitaires en société et explorer d’autres dynamiques de pouvoir dans l’intimité. Laisser sa ou son (ou ses) partenaire.s prendre le contrôle, c’est avant tout une expérience de l’abandon, une délicieuse manière de lâcher prise.

Bien commencer le BDSM

Avant de sortir les menottes et le fouet, on pose les bases : consentement clair, discussions ouvertes, et surtout, pas de patriarcat déguisé en domination. Le BDSM féministe, c’est un terrain de jeu où tout le monde est égal.e, même quand l’un.e est attaché.e. Alors, on échange, on négocie, et on n’oublie pas que dire ‘non’ reste la règle d’or… et parfois le mot de sécurité !

Le tips des salopes:

On prend le temps de discuter avec sa, son (ou ses) partenaire.s avant d’initier le jeu. On discute de nos limites, de ce qui nous excite et on choisit un safeword si on le juge nécessaire.
La suggestion des salopes: Pour se mettre dans le mood, on enfile ses écouteurs et on se laisse inspirer par Bondage à l’Auberge, le premier épisode du podcast érotique @oui.e.balado

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